Dès la première page, l’avocate donne le ton. « Je vous ferai découvrir une réalité tout autre que celle distillée par les médias, le Net, les amuseurs publics, les usurpateurs, les provocateurs … et par la chaîne infinie des ignorants », écrit Claude Dumont Beghi. Et gare à ceux qui s’attaquent à son client, en justice comme en politique.
De la famille Myboto…
À commencer par la famille Myboto. Claude Dumont Beghi expose ainsi les demandes financières d’Onaida Maisha Bongo – fille d’Omar Bongo et de Chantal Myboto et petite-fille de Zacharie Myboto, président du parti d’opposition Union nationale – dans la succession d’OBO.
« Une héritière parmi cinquante-quatre – qui a légitimement droit, selon le code gabonais, à moins de 2% de la succession de son défunt père – conteste seule la succession, la filiation de son demi-frère (…) », écrit Claude Dumont Beghi, avant de s’attaquer point par point aux arguments de l’opposition concernant l’acte de naissance de son client.... suite de l'article sur Jeune Afrique