Un atelier de l'organisation islamique pour l'éducation, la science et la culture (Isesco), se déroule depuis hier au siège du Conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon (CSAIG), à Libreville. Il vise le renforcement des capacités de la femme rurale, afin '' de faciliter son insertion dans le processus décisionnel''.
atelier pour le développement des savoirs traditionnels au profit des femmes rurales s'est ouvert hier à Libreville au siège du Conseil supérieur des affaires islamiques du Gabon (CSAIG), sis au Boulevard-Triomphal de Libreville. Prenaient part à cette cérémonie d'ouverture, le directeur général de la Promotion des associations, de l'action sociale et de la famille, Camille Benga, le secrétaire général de la commission nationale de l'Organisation islamique pour l'éducation, la science et la culture (Isesco), Ahmed Kouka, un représentant de l'Isesco, le Dr Abdoul Aziz Yaouba, et quatorze leaders d'associations de femmes rurales.
Dans son propos circonstanciel, Mme Benga a défini les objectifs de cet atelier : mettre l'accent sur les conditions de reconnaissance, d'exploitation et de validation des savoirs traditionnels, et sensibiliser à la protection juridique de ces savoirs ancestraux, porteurs de valeurs.