Le président de la République l’a déclaré, hier, au palais présidentiel, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse en présence des responsables et représentants des médias au Gabon.
LA journée mondiale de la liberté de la presse a été célébrée, hier, au Gabon. A cette occasion, une cérémonie s’est déroulée au palais présidentiel donnant lieu à un discours du représentant de la presse, Jean-Pascal Ndong, et à celui du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, hôte des patrons des médias et des journalistes en cette journée spéciale.
Pour le président de la section Gabon de l’Union de la presse francophone (UPF), Jean-Pascal Ndong, cette journée s’inscrit dans le cadre de la célébration des principes fondamentaux de la liberté de la presse. En termes d’acquis, il a soutenu qu’ils sont nombreux : un cadre législatif, la dépénalisation du délit de presse, l’octroi de la subvention à la presse, l’absence des journalistes en prison...
De son côté, le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour faire un diagnostic de la situation au Gabon. « On peut le constater, le Gabon est un pays ouvert qui favorise la liberté d’expression et garantit la liberté d’opinion », a-t-il relevé