Olam Rubber Gabon a réagi aux «accusations infondées» selon lesquelles elle fait entrer dans le pays, via Bitam, des miliciens et armes de guerre. Ci-après, l’intégralité du communiqué.
« Olam Rubber Gabon s’étonne et déplore plusieurs rapports diffusés ces derniers jours à propos de supposées armes de guerre et miliciens qui seraient entrés au Gabon en s’appuyant sur des moyens mis à disposition par notre société à Bitam.
Nous dénonçons ces dires et souhaitons signifier toute notre indignation. Aucun de nos camions, ni de nos collaborateurs n’ont été́ suspectés ni arrêtés par les autorités pour les faits présentés. Les informations relayées sont donc tout simplement mensongères. Nous nous réservons par conséquent le droit de poursuivre en justice toutes les personnes qui diffusent ces propos diffamatoires à notre égard.
Olam Rubber Gabon est une société dont l’objet demeure le développement de plantations d’hévéas et d’une usine de transformation dans la région de Bitam. La société qui emploie 1 406 personnes et a planté 7 800 hectares à ce jour reste focalisée sur son unique objectif, celui de participer à la diversification économique du Gabon, par le développement d’un outil agro-industriel moderne, appliquant les meilleurs pratiques et standards internationaux tout en étant une entreprise citoyenne participant au développement rural et au bien-être des parties prenantes directement impliquées par le projet.
Nous croyons aux atouts compétitifs, à la qualité́ de ses sols et des conditions climatiques du Gabon. Notre objectif est d’atteindre une production de 40 000 tonnes de caoutchouc par an. En 2019 nous entamerons la construction d’une usine de production quotidienne de 225 tonnes de caoutchouc.