Frédéric Massavala Maboumba apporte son soutien à Guy Nzouba Ndama
Frédéric Massavala Maboumba, lors de son intervention
Texte mis à jour le : 08-04-2016 | 29 lecteurs | 0 Commentaires
Libreville, le 8 avril(NVG). Après sa démission du perchoir de président de l'Assemblée nationale, et de sa déclaration de candidature à l’élection présidentielle d’août prochain. Guy Nzouba Ndama vient d’assister à un premier ralliement en sa faveur. Il s’agit de Frédéric Massavala Maboumba, ancien ministre, membre du bureau politique du Parti Démocratique Gabonais (PDG), qui avait démissionné le 17 janvier dernier de ce parti. Et comme il l’avait promis lors de cette sortie politique de la chambre de commerce de Libreville, de soutenir un candidat qui à, certains nombres de critères, pour lui la perle rare est Guy Nzouba Ndama, un ancien ministre, député, et président de l'Assemblée nationale pendant 19 ans, c’est un homme rompu à la tâche qui as une aura et plusieurs amies à l’internationale, un homme rompu à la tâche. Massavala est revenu sur le parcours de la démocratie dans notre pays, une démocratie qui est marche mais selon lui qui as un coup d’inachevé et qu’il faut achever, notamment avec le nombre de mandat présidentielle qu’il faut limiter à deux comme dans certains pays , et revenir à un système électorale à deux tours et c’est cela qu’ils font parfaire dès leurs prise de pouvoir en septembre prochain.
Frédéric Massavala Maboumba dit avoir été frappé par densité du discours de Guy Nzouba Ndama lors de l’annonce de sa candidature, et il retient deux choses la première sait qu’il quitte volontairement le confort de ses fonctions de président de l'Assemblée nationale, afin d’écouter l’appel du peuple, la deuxième chose est d’avoir nommément cité les neuf provinces de notre pays, de libérer le Gabon de l’extirper des mains des imposteurs.
Avec ce soutien à Guy Nzouba Ndama, Frédéric Massavala mettra toute son énergie avec les Hommes qui sont à ses côtés, pour aider le candidat déclaré à l’élection présidentielle a chassé Ali Bongo Ondimba du pouvoir, qui se trouve être rattrapé par l’article 10 de notre Constitution.