Sa dernière prestation, le week-end écoulé, à la salle de l’Albatros à Amiens, a été très appréciée du public français, tant les textes qu’elle compose et les sonorités qui les rythment laissaient apparaître, selon eux, son goût pour les mélodies raffinées.
TOUTE jeune et toute belle, Tina Minkoue faisait, jusque-là, de petites apparitions publiques à l’occasion de certaines grandes manifestations organisés à Libreville. Sur un tempo à la fois langoureux et plein de cadence, elle donnait le meilleur d’elle-même.
Installée en France depuis 2002, elle est, aujourd’hui, l’une des artistes gabonaises les plus demandées sur la scène française. Sa dernière prestation, le week-end écoulé, à la salle de l’Albatros à Amiens, a été très appréciée du public français, tant les textes qu’elle compose et les sonorités qui les rythment laissaient apparaître, selon eux, son goût pour les mélodies raffinées.
"Alougha", extrait de son premier maxi single, et "Gna Moro" du deuxième ont figuré, entre autres, au menu de cette prestation qui a révélé le talent d’une artiste qui construit petit à petit son patrimoine.