Cette initiative, salutaire à plus d'un titre, a eu lieu le week-end dernier dans les premier, deuxième et troisième arrondissements de la commune de Libreville. Une action à inscrire dans le cadre de la lutte contre le paludisme.
ON ne le dira jamais assez, l'anophèle affectionne tout environnement insalubre. Pour lutter contre le paludisme, les populations devraient, pour leur bien, garder leur milieu de vie sain, en plus d'avoir recours aux moustiquaires imprégnées et autres insecticides.
C'est dans ce souci que la Croix-Rouge gabonaise a déployé, le week-end écoulé, quelques-uns de ses volontaires dans les premier, deuxième et troisième arrondissements de notre capitale, pour une opération retroussons les manches. Cette initiative, louable à plus d'un titre, entre dans le cadre de la lutte contre le paludisme menée par la Croix-Rouge gabonaise et l'Union européenne (UE). Elle vise, entre autres, la réduction des facteurs de risque du paludisme dans les quartiers sous-intégrés de Libreville.
Malgré la forte pluie observée toute la journée de samedi, les bénévoles de la Croix-Rouge se sont fait remarquer par leur détermination à améliorer l'environnement de la capitale. Ils ont, pour cela, procédé à l'aération des voies d'évacuation des eaux usées, au désherbage des alentours de plusieurs habitations, etc.