Libreville - Brice Mbika Ndjambou, président de la Ligue Nationale de Football (LINAF) vient de convier les présidents des clubs de première division à une assemblée générale extraordinaire dont l’ordre du jour portait sur l’examen et adoption du projet de budget 2015-2016. Les contraintes de Budget du pays entrainent tout le monde à serrer les coudes, et le Premier ministre chef du gouvernement l’a rappelé lors de la cérémonie de présentation en janvier dernier. Pour être plus claire sur gestion que l’État octroi à la LINAF, le président voulu par cette démarche présenter la nouvelle forme de son budget qui englobe également la gestion des clubs.
L’Etat en voulant rendre notre championnat professionnel, avait mis la barre haute en octroyant au départ un peu plus de 10 milliards, il y a trois ans, la subvention de la lINAF, vient de descendre à 3 milliards, ce qui emmène des bouleversements au sein de la LINAF, mais aussi de la gestion au quotidien des clubs qui participent au championnat national de football. Comme une pilule, elle a été difficile à avaler par les présidents clubs présents lors de l’assemblée générale. Ce qui veut dire que le salaire minimum des joueurs professionnels du Gabon, est désormais à 15 000frs et plus à 400 000frs, restriction oblige, il est question de sauver la crédibilité de la LINAF, qui gère le championnat nationale.
Dans divers, dorénavant le nombre de joueurs étrangers dans le championnat national chutera de 6 à 4, ceci pour donner une plus grande chance aux autochtones plus chance d’évoluer dans le championnat. C’est donc à l’unanimité que le budget de la LINAF qui se chiffre en dépenses et en recettes à 4 101 450 000 frs.
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