Comité de privatisation et mission de surveillance. Tout a été passé au peigne fin par le premier responsable de cette administration.
l’Union: M. le secrétaire du Comité de privatisation, pouvez-vous nous en dire plus sur les missions de surveillance ?
Félix Onkeya : « Elles interviennent lorsqu’une entreprise connaît des problèmes, soit en exécutant des plans sociaux pour se relancer ou encore en procédant à sa liquidation.
Parlant de ces liquidations, comment gérez-vous ces nombreux agents remerciés?
Avec l’arrivée de la Banque africaine de développement, des mesures d’accompagnement des personnes ayant perdu leur emploi pour des raisons économiques ont été prises. Malheureusement, ce programme n’a pas été appliqué jusqu’au bout. De ce fait, bon nombre de remerciés se retrouvent dans la précarité.
Mais où en êtes-vous avec le dossier de l’indemnité transactionnelle ?
Impossible de dégager des ressources additionnelles en l’état actuel des choses pour régler la question des indemnités transactionnelles.
Qu'en est-il de l’épineux dossier d’Africa N° 1 ?
La productivité, l’imagination et le génie gabonais ne sont pas au rendez-vous et le fonctionnement actuel de cette radio n’est pas optimal. Raison pour laquelle nous éprouvons des difficultés pour la remettre totalement sur pied.