En réaction aux déclarations du président de l’Observatoire national des prisons (ONP), faisant état de sévices sexuels par sodomisation qui auraient été commis dans la nuit du 20 décembre 2014 sur un homme gardé à vue par deux agents de la direction générale de la Contre –ingérence et de a sécurité militaire, connue sous le nom de B2.
Les responsables de cette administration, tout en s’insurgent contre de tel comportement, ont marqué, hier, leur disponibilité à collaborer avec la justice pour que les présumés auteurs de cet acte répréhensible et intolérable en répondent sur les plans disciplinaire et pénal. A charge donc à l’ONP d’engager sa procédure auprès de la justice.
Dans le même ordre d’idée, les détenus de la prison centrale de Libreville, observaient samedi dernier, un mouvement d’humeur sur les mauvaises conditions de vie en milieu carcéral. Ils ont cassé tous les cadenas, ils ont regagnés les cellules qu’au prix de plusieurs heures de négociations.