La plus grande course africaine, la Tropicale Amissa Bongo qui s’est élancée le 18 janvier depuis la ville de Kango arrive à Libreville dimanche. Les coureurs africains côtoient les internationaux et les recruteurs ne sont pas loin.
L’air de rien mais sur son 31, Daniel Teklehaimanot se promène aux abords de la ligne de départ de la Tropicale Amissa Bongo. Il ne court pas cette année, mais a tenu à faire l’aller retour dans la petite ville de Kango, à quelques kilomètres de Libreville, pour assister à la première étape de la compétition à l’issue de laquelle il recevra le trophée du « Meilleur cycliste africain de l’année 2015 ».
Cet Érythréen à l’allure élancée et au sourire communicatif ne passe pas inaperçu : dans les rangs des équipes rwandaise, gabonaise, burkinabè, et bien sûr érythréenne, chacun le salue au passage ou l’arrête le temps d’une poignée de main ou d’une photo.... suite de l'article sur Jeune Afrique