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Entreprenariat : Un tremplin de l’Unesco pour les jeunes créateurs
Publié le mercredi 13 janvier 2016   |  Gabon Review


Gabon/Unesco
© Autre presse par DR
Gabon/Unesco : pour une meilleure organisation de la coopération


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L’Organisation des Nations-unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), en partenariat avec le Centre d’étude et prospective stratégique, a lancé, le 12 janvier courant, à Libreville, la troisième édition de «Tremplin», une initiative visant à promouvoir l’entreprenariat social et la culture de la paix en Afrique.

Dans le souci de promouvoir l’initiative privée et l’innovation sociale et encourager l’esprit d’entreprenariat au sein de la jeunesse, le chef de bureau et représentant de l’Organisation des Nations-unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) a délocalisé sur Libreville, pour la période du 12 janvier au 8 mars 2016, le mécanisme de soutien «Tremplin». D’une valeur de 10 millions de francs, il comprend aussi un accompagnement et une couverture médiatique.

Concrètement, il s’agit de communiquer autour de projets initiés par des jeunes, de récompenser leurs initiatives dans le sens de la cohésion sociale et de la culture de la paix et de leur permettre de recevoir un soutien technique et financier. Essentielle pour la mise en œuvre de la stratégie opérationnelle de l’Unesco sur la jeunesse pour la période 2014-2021, cette initiative participe de la volonté de l’agence onusienne de venir à bout du phénomène du chômage des jeunes en Afrique.

Pour participer, il faut être Gabonais et résider sur le territoire de façon permanente ; avoir entre 21 et 35 ans ; avoir créé une entreprise ayant au moins un an d’existence et dont les activités correspondent à la définition de l’entreprenariat social ; être dirigeant de cette structure et en contrôler au moins 50 % du capital ; avoir son siège en Afrique ; faire un chiffre d’affaires minimum d’environ 2 millions de francs et avoir créé au moins un emploi salarié stable. «Nous voulons privilégier la jeunesse gabonaise, favoriser une entreprise qui existe, et non un projet, une idée. Il nous faut éviter d’investir sur un projet qui n’est que rêve et qui n’a pas véritablement les conditions minimum pour se réaliser. Nous serons un peu strictes sur les critères d’éligibilité tout en gardant le minimum de souplesse», a assuré Vincenzo Fazzino.

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