LIBREVILLE - Un collectif d’étudiants organisent, du 20 au 21 novembre, à l’Ecole supérieure de la mer au quartier Acaé à Libreville (Sud), des tests à plusieurs élèves et étudiants des établissements supérieurs de la capitale, pour 50 places disponibles, afin de leur permettre de décrocher un stage en entreprise.
Les étudiants en fin de cycle, premier et second cycle et même ceux qui ont un niveau Terminal sont depuis ce vendredi à l’épreuve des tests afin de décrocher un stage en entreprise. Ce recrutement est à l’initiative d’un collectif d’étudiants.
Bénéficiant du concours d’un collectif d’étudiants, à travers leur concept ‘’Foire aux stages’’, et en partenariat avec une agence de communauté dénommée ‘’Atace’’ qui, ont préalablement parcouru les entreprises à la recherche de quelques places disponibles, ces postulants ont été soumis à des tests psychotechniques, d’aptitudes et de connaissances. Tout ceci dans un souci de totale transparence et de chance équitable à donner à tous et à chacun. Les entreprises souhaitant accueillir la qualité et non le nombre.
L’évènement, qui va durer deux jours, enregistre la présence de nombreux partenaires tels que la marque de boisson ‘’Malta Guiness’’, Samsung, Airtel Gabon, etc.… des cabinets spécialisés en ressources humaines, en recrutement, ainsi que les entreprises qui offrent les stages convoités, comme Leaders, Economie Gabon+…
Cette plateforme qui est à sa première édition a par ailleurs permis aux étudiants présents de connaitre davantage sur les métiers de la mer, ainsi que les métiers connexes. A cette occasion, ils ont eu droit à deux conférences-débats animées par les cadres de la Compagnie nationale de navigation intérieure et internationale (CNNII), de même que le Centre de documentation et recherche maritime (CEDREM). Plusieurs ateliers sont organisés parallèlement.
‘’Pour cette première édition nous avons ouvert les offres de stages aux métiers maritimes et portuaires. Nous voulons, et c’est déjà le cas actuellement, les ouvrir aux autres qualifications. Nous souhaitons que les entreprises nous accompagnent un peu plus dans le cadre de ce projet que nous croyons bénéfique », a indiqué Jacques Koudri, membre du collectif d’étudiant.