Un rêve pour beaucoup d’Africains, vivre ou travailler en Occident. Ils sont prêts à tout pour rejoindre l’Europe. Apres un nombre record de pirogues disparues en mer méditerranéenne, des jeunes Africains ne se découragent jamais pour rejoindre l’eldorado. Et dans ce dessein, un nouveau phénomène est né : passer pour un homosexuel pour décrocher le sésame(visa). Tandis que d’autres qui vivent déjà en Europe en font de même pour trouver une carte de séjour. Parmi ces nationalités africaines, Times24 de citer des Camerounais, des Algériens, des Sénégalais, des Ivoiriens, des Maliens, des Togolais et des Guinéens qui, évoquent aussi Ebola.
L’acquisition d’un visa de séjour ou de la carte étant si pénible, des candidats à l’émigration ont trouvé l’astuce de passer pour des homosexuels persécutés dans leur pays, juste pour obtenir le fameux sésame.
Par conséquent, les Occidentaux ne veulent pas seulement accepter ce phénomène des lesbiennes, des gays, des bisexuels, et autres transgenres ou encore l’homosexualité, mais plutôt l’imposer aux Africains.
Les demandes d’asile sont devenues maintenant très récurrente en Occident où ils ont triplé en cinq ans à l’ambassade de Belgique au Sénégal. Et 48% des Sénégalais font recours à cette demande. Ensuite, viennent les Camerounais, les Mauritaniens, les Togolais et les Guinéens.
Ainsi, les Africains profitent de la menace qui plane sur les homosexuels dans certains pays d’Afrique, pour essayer de tromper la vigilance d’Européens, afin de s’ouvrir les portes de l’Occident.
Pour une meilleure condition de vie «libre» en Europe, les immigrés font également cette pratique. La majorité des émigrés (Ivoiriens, Maliens, Togolais, Sénégalais, Algériens, Camerounais, Guinéens et Sud-Africains), introduisent cette requête pour obtenir une carte de séjour. Souvent, ils se prêtent à ce jeu pour tromper la vigilance de pays, dit-on de Droits de l’homme.
Ce nouveau phénomène «des gays migrants» risque d’être compliqué pour certains pays qui ont toujours combattus les droits humains. Un autre moyen, après celle de vagues des pirogues, pour les jeunes Africains qui ne se fatiguent pas de trouver une autre issue et d’essayer de quitter cette pauvre vieille «Afrique».