Libreville – La cellule de l’Union pour la Démocratie et l’Intégration Sociale (UDIS, majorité) du Boulevard Triomphal dans le 2ème arrondissement de Libreville, a été installée le week-end dernier par le Président du parti Hervé Patrick Opiangah (HPO) qui était entouré pour la circonstance des membres du bureau national de sa formation politique.
Trois temps forts ont constitué la trame de l’événement présidé samedi dernier à Libreville par le Président de l’UDIS, Hervé Patrick Opiangah, consacré à l’installation de la cellule du Boulevard Triomphal du parti membre de la majorité républicaine et sociale pour l’émergence. Ce fut les discours prononcés par Grâce Abiaghé, Frank Nze Mba et Hervé Patrick Opiangah.
Grâce Abiaghé, la Vice présidente de la cellule a lu la motion de soutien des militantes et militants de l’UDIS à monsieur le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, en l’exhortant l’exhortant à poursuivre sa politique d’ouverture.
De son coté, le responsable de la cellule Franck Nze Mba a demandé au Président Hervé Patrick Opiangah de transmettre au chef de l’Etat l’engagement de son bureau à le soutenir dans ce vaste et ambitieux programme contenu dans le Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE) tout en disant que les membres de l’UDIS du Boulevard Triomphal se dresseront en ordre de bataille à chaque fois qu’ils seront sollicités dans le cadre des rencontres politiques en gestation.
Prenant la parole, le président de l’UDIS, Hervé Patrick Opiangah a appelé ses militants à être des citoyens dynamiques, conquérants et tout simplement inventifs.
« Il faut une prise de conscience individuelle, et collective, à partir du moment où nous avons une plate forme », a-t-il avancé.
Et de poursuivre : « L’aberration ethnique et la posture comportementale des sages de Nkembo est un acte à ne pas tolérer vis-à-vis de nos populations et partant des jeunes. Je veux évoquer le sujet sur la paix car, j’ai entendu des gens dire qu’on ne mange pas la paix, mais celui qui me dira que quand un pays est en guerre il mange en paix est un menteur ».
« J’ai faim je peux aller prendre une bouteille de coca chez le malien (boutiquier, ndlr) il va m’en donner, et même courir chez le voisin il va me donner à manger. Alors en cas de guerre, ce ne sont pas les forts qui vont périr, mais les plus faibles, les femmes et les enfants », a-t-il ajouté.
Au demeurant, Hervé Patrick Opiangah a demandé aux uns et autres de cultiver la paix des cœurs et de s’aimer en tant que frères et sœurs appartenant à un même pays, le Gabon qui, a-t-il expliqué, a besoin de tous ses enfants pour se hisser au rang des grandes nations du monde.
Devant les problèmes qu’endurent au quotidien les populations, il a invité le bureau de la cellule du Boulevard Triomphal à travailler d’arrache-pied et faire des propositions afin d’améliorer le bien être social de tous.
