Au regard d'un certain nombre d'attitudes d'égarement constatés ces derniers temps, dans les sorties de productions cinématographiques, le ministère de tutelle a dû faire un rappel à l'ordre. D'où la tenue, le week-end écoulé, de la rencontre entre le directeur général de l'Igis et les réalisateurs gabonais.
LES réalisateurs d'œuvres cinématographiques, dans leur grand ensemble, étaient réunis, le week-end écoulé, avec le directeur général de l'Institut gabonais de l'image et du son (Igis), Henri Joseph Koumba Bididi. L'objectif de la rencontre était pour eux de s'accorder sur la définition de la norme à respecter en matière de cinéma.
En raison d'un certain nombre d'attitudes d'égarement constatés ces derniers temps dans les sorties de films, et le laissez-aller qui semble s'être confortablement installé dans la manière de travailler des réalisateurs, le ministère de la Communication a dû faire un rappel à l'ordre. Quelles sont les limites à ne plus franchir ?
Cette mise au point de l'autorité de tutelle se voulait ainsi une exhortation aux professionnels du 7e art à plus de tact dans leurs productions, et à une prise en compte du contexte social et culturel dans lequel ils évoluent.