Les experts de l'OMPI, arrivés dans notre pays pour cette importante rencontre, ont fourni aux participants le maximum d'informations nécessaires à la bonne marche d'un régime du droit d'auteur et des droits voisins, et partagé les expériences vécues dans leurs pays respectifs.
OUVERT lundi dernier, le séminaire national sur le droit d'auteur et les droits voisins, dans sa phase liée à la formation et à l'information, s'est achevée hier après-midi à l'hôtel Nomad. Aux dernières nouvelles, une autre étape, beaucoup plus technique, devrait s'ouvrir ce mercredi.
Il convient, tout compte fait, de retenir que ces deux jours d'intenses travaux se sont révélés fructueux, si on en croit les témoignages recueillis auprès des participants. Ceux-ci ont vu en ce séminaire l'imminence d'un aboutissement heureux d'un dossier du droit d'auteur et des droits voisins s'apparentant, depuis des années déjà, à un serpent de mer.
Certes, ce n'était pas la grande affluence à ce rendez-vous qu'organisait le gouvernement, à travers le Bureau gabonais du droit d'auteur (Bugada), et l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI). On aurait, peut-être, aimé y voir des visages réguliers de la scène artistique et culturelle nationale, comme Ba'ponga, Naneth, Nicole Amogho, Nadège Mbadou ou encore Pierre-Claver Akendengue.