Le directeur général du Budget et des Finances publiques, Jean-Fidèle Otandault, a eu une importante séance de travail, le jeudi 17 septembre, avec un collectif des PME dans lequel figurait le président de l’Organisation patronale gabonaise.
Il s’agissait, pour le DGBFIP, de faire le point sur l’audit des instances au Trésor public.
En effet, cette séance de travail intervient dans un contexte où les responsables des Petites et Moyennes Entreprises (PME) locales s’étonnent du mutisme de l’Etat sur la question de la dette intérieure. Une ardoise due à environ 571 PME et qu’ils évaluent à plus de 300 milliards de francs.
« Cette rencontre, qui constitue la réponse du DGBFIP à la sollicitation du collectif, témoigne de sa disponibilité et de sa volonté à vouloir trouver des solutions afin d'aboutir à la consolidation du partenariat qui devrait, selon lui, reposer sur un dialogue franc et permanent », a indiqué Jean-Fidèle Otandault.
Le DGBFIP a ainsi tenu à rassurer ces opérateurs économiques, en soulignant que cette situation pénalise non seulement les PME, mais également l’ensemble de la nation, car empêchant les PME de jouer le rôle de levier de la croissance économique.