Ce lundi 14 septembre, le président gabonais Ali Bongo s’est rendu à l’Elysée pour un entretien officiel avec François Hollande. Son directeur de cabinet, Maixent Accrombessi, est pour sa part resté à Libreville. Lors de sa dernière venue en août, il avait fini son séjour en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire à Nanterre, lundi 3 août. Le choc fut brutal pour cet homme habitué au faste des palaces et des restaurants étoilés du 8e arrondissement. Rapidement relâché après que la présidence gabonaise eut transmis une lettre aux autorités françaises, faisant valoir son immunité diplomatique, Maixent Accrombessi est, depuis, un sujet de tensions entre Paris et Libreville.... suite de l'article sur LeMonde.fr