Libreville, le 14 septembre(NVG)- Les rideaux se sont refermés sur la 14e édition du forum de l’African Growth and Opportunity (AGOA). Le comité d’organisation présidé par Rachel Ebaneth, a travaillé pour que les choses se déroulent bien. Sous la supervision de Gabriel Tchango, ministre du commerce et du développement des entreprises. Tous ont travaillé jours et nuits, pour que la 14e édition qui se tenait dans notre pays soit gravée dans les mémoires, et inscrite en lettre d’or dans l’histoire D’AGOA. Ali Bongo Ondimba avait donné des instructions fermes au ministre pour que tout se passe dans des meilleures conditions.
Quatre jours, les experts, venus d’une trentaine de pays, ont eu des discussions autour du partenariat actuel entre les USA et l’Afrique en matière d’investissements, de commerce et surtout des perspectives. La rencontre de Libreville a porté sur la capitalisation des 15 années de partenariat AGOA et de partenariat AGOA et le renforcement de la coopération entre les USA et l’Afrique au Sud du Sahara. L’objectif visé étant de suscité une plus grande réciprocité entre ces deux acteurs et de favoriser la diversification économique et l’implication de l’Afrique dans le système commercial mondial. Les Africains peuvent booster le commerce intra-africain, mais aussi avec les Etats-Unis, en se conformant aux normes internationales, gage d’une sécurité alimentaire.
Gabriel Tchango, ministre du commerce des petites et moyennes entreprises, de l’artisanat et du développement des services, AGOA a été un nouveau défi pour lui, il vient de montrer à la face du monde qu’il ait à la hauteur de tout, et prêt toujours a relevé les défis. En 2012 après les élections législatives, Ali Bongo Ondimba décide de formé un nouveau gouvernement, il fait appel quelqu’un qui n’était pas pressenti a entrée au gouvernement puisqu’il faut un certain nombre de critères, certes notre ministre n’a pas effectuer des longues études mais il à la maitrise et la gestion de la chose publique. Ali Bongo Ondimba nomme Gabriel Tchango ministre des Eaux et Forêts, l’homme se met dans un environnement qu’il n’a jamais peut être rêvé un jour, mais ce fils de petit famille née à Port Gentil, reconnait toujours d’où il vient, et il ne le cache pas. Arrivée au ministère des Eaux et Forêts, Gabriel Tchango va d’abord s’attelé à comprendre le fonctionnement, il garde certains cadres du ministère en fonction pendant un an, il travaille avec eux, chose rare dans notre pays.
Chaque fois, qu’il avait des problèmes au ministère, soit des fonds communs ou des primes, Gabriel Tchango a toujours mis la main à la poche, même quand il s’est agi du paiement des Bus de transports des agents, le ministre a acheté avec son argent, et se faire rembourser plus tard.
Certains avaient prédit qu’il ne devrait pas réussir l’organisation de la 14e édition du forum AGOA, c’était mal connaitre l’homme, un acharné du travail bien fait. Même si au dernier jour avant l’ouverture du forum, lors de la synthèse, certains membres du comité d’organisation ont voulu faire dans la surfacturation, pour grignoter, comme d’ habitude le budget qui a été élaboré pendant les réunions. Mais c’était sans compter sur le ministre qui veillait au bon grain. Ce sont là des bons points du ministre qui peut se targué d’avoir réussi l’organisation de l’AGOA, comme il l’a toujours dit « Je suis au service de mon pays, et du président Ali Bongo Ondimba, j’apporte ma modeste contribution au processus de développement de notre pays. »
L’on se souvient dernièrement, lors du mouvement d’humeur des agents de son ministère, qui réclamaient le paiement de la PIP (Prime d’Incitation à la Performance), Gabriel Tchango n’avait pas hésité à sortir de sa propre poche 5millions, pour distribué aux agents, en attendant le paiement de la PIP. AGOA vient d’être clôturer, place à d’autres défis. Pour couronné le tout, le dernier remaniement gouvernemental vient de confirmer nos propos, Gabriel Tchango vient de bénéficier à nouveau la confiance du Chef de l’Etat, comme Ministre d’Etat, Ministre de la pêche et de l’élevage. Il ne nous reste plus qu’a souhaité bon vent au Ministre.