Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Gabon    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Économie
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Économie

Passation des marchés : Revue des appels d’offres
Publié le samedi 12 septembre 2015   |  Gabon Review


Dieudonné
© Autre presse par DR
Dieudonné Minlama Mintogo, président du Collectif des organisations de la société civile pour le développement et la lutte contre la pauvreté


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

La direction générale du Budget et des Finances publiques (DGBFIP) a récemment rendu publics les résultats des appels d’offres, en vue de la réhabilitation du patrimoine national.
Le président de la Convention nationale de l’interposition a fait un pas de plus vers l’officialisation de sa candidature à la magistrature suprême, le 6 septembre dernier, au village Meyo-Nkodje dans le département du Ntem, dans la province du Woleu-Ntem.
C’est désormais officiel : le président de la Convention nationale de l’interposition, par ailleurs président de l’Observatoire national de la démocratie, est candidat à la magistrature suprême. Il l’a dit lors de sa récente tournée dans le département de Ntem. Le choix du lieu de cette déclaration, notamment Meyo-Nkodje, tient au fait qu’il est originaire de la contrée où sa vie a débuté. «C’est un réel plaisir de me retrouver ici avec vous aujourd’hui. Je suis heureux parce qu’ici c’est chez moi. C’est dans ce village où ma circoncision a été faite et j’ai choisi ce village qui est le mien pour parler de ma politique, de ma vision du Gabon, du Woleu-Ntem » a-t-il lancé.

Critiquant la situation chaotique dans laquelle est plongé le pays, Dieudonné Minlama a expliqué qu’elle est la résultante de la gestion des acteurs aussi bien de la majorité que de l’opposition, disant n’appartenir à aucun bord politique. «Une classe politique dont la quasi-totalité des acteurs (opposition et majorité) sont responsables de la situation calamiteuse dans laquelle se trouve notre pays aujourd’hui », a-t-il fustigé. De même, il a dit ne pas se reconnaitre dans la fameuse logique du «tout sauf les Fang» parce que la Constitution garantit à tout citoyen le droit de se porter candidat à toute élection, à condition de remplir les critères exigés. «Ce que je sais, c’est que la Constitution permet à tout Gabonais remplissant les critères d’éligibilité de se présenter à toute élection et que nulle part il n’est mentionné le critère ethnique. Le Gabon étant un pays indivisible», a-t-il souligné. Déclarant que la politique est un combat d’idées et non une guerre ethnique.

À l’issue de l’escale de Meyo- Nkodje, Dieudonné Minlama et sa délégation se sont déportés vers la ville de Minvoul dans le Haut-Ntem, où il a tenu à deviser avec les autorités politiques, civiles et militaires, avant de se réunir avec les notables, auprès de qui il est allé exprimer son intention de se porter candidat à la présidentielle de 2016.

 Commentaires