Ali Bongo Ondimba en a voulu pour preuve la participation active de la ministre française de l'Écologie, Ségolène Royal, aux récentes assises de la 4e édition du New York Forum Africa, à Libreville. Cet entretien avec nos confrères de la télévision nationale lui a également permis, entre autres, d'aborder les questions relatives à la jeunesse et à la cession de sa part d'héritage d'Omar Bongo.
LE chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, marquant un arrêt dimanche dernier au stand de nos confrères de Gabon Télévision lors de la 4e édition du New York Forum Africa (NYFA), s'est prêté aux questions des journalistes de ce média public. Occasion pour lui de faire, avec eux, le point de l'actualité riche en événements : les rapports avec la France, la cession de sa part de l'héritage de son défunt père Omar Bongo, sa politique de la jeunesse et le scrutin présidentiel de 2016.
« La présence de Mme Royal veut clairement dire que nous n'avons pas de problème avec le gouvernement français », a ainsi déclaré le président de la République pour parler des relations entre Paris et Libreville. Cela pour mettre un terme aux spéculations qui vont bon train après l'interpellation en France de son directeur de cabinet, Maixent Accrombessi, et la saisie en février dernier de l'avion présidentiel par la justice française.