En l'absence du président de l'institution, Richard Auguste Onouviet, premier vice-président, a ouvert la session. Objectif principal, l'examen du projet de loi de finances 2016.
Devant les représentants des institutions constitutionnelles, les membres du gouvernement et du corps diplomatique, les représentants des ONG et les députés, cette session est donc officiellement ouverte. Et de rentrer immédiatement dans le vif du sujet, à savoir la loi de finances 2016. « Soumise à son examen préalable et à son autorisation, la loi de finances initiale pour l'exercice 2016, sera minutieusement analysée par l'Assemblée nationale qui mobilisera, à cet effet, tous les moyens légaux mis à sa disposition», a souligné Richard Auguste Onouviet. «Il vous appartiendra d'examiner et d'analyser, en profondeur, les solutions que propose le gouvernement pour financer le développement nécessaire du pays en 2016, et les moyens qu'il compte mettre en œuvre pour y parvenir».
Ce dossier mis à part, plusieurs autres textes seront examinés, parmi lesquels ceux concernant l'activité gouvernementale pendant l'intersession parlementaire. C'est dire que «la tâche de tous les jours va donc reprendre avec force et vigueur» comme l'a indiqué Richard Auguste Onouviet.