Le «web reality show» de celui qu’Ika Rosira, chroniqueuse sur Gabonreview, a présenté comme le gardien de bien de secrets, de mensonges, de semi-vérités et de vérités, n’est pas appréciée de tout le monde. Surtout, lorsqu’il est conduit avec l’impertinence qui caractérise le soi-disant «conseiller à l’éveil patriotique du président de la Convention de la diaspora gabonaise» (CDG). La démonstration vient d’en être faite par une organisation d’associations et membres de la société civile qui, par le biais d’un communiqué à valeur de mise en garde, s’insurge contre l’absence «de responsabilité, d’éthique et de solidarité», dans les interventions de Landry Mbeng. «Par imputation de responsabilité, les propos discourtois de (Landry) Mbeng traduisent une certaine addiction à l’injure facile et à la diffamation, et engagent la personne morale de la Convention de la diaspora gabonaise», fait constater la Cappo.
Dans ses déclarations aussi irrévérencieuses qu’inédites, Lanlaire aurait été discourtois envers Zacharie Myboto, René Ndemezo’Obiang, Paul-Marie Gondjout, Chantal Myboto, Patrick Eyogo, Danielle Mengue, Félix Bongo, Franck Ndjimbi, Jean-Gaspard Ntoutoume Ayi et Désiré Ename. Une attitude qui a conduit les membres du Cappo à se pencher sur l’état psychologique de l’homme. «À ce jour, aucun diagnostic ne fait état, chez ce compatriote, ni de folie intermittente, ni d’hypnotisme, ni de crise d’adolescence. Par conséquent, il est un justiciable, qui peut répondre de ses actes devant la loi de manière à prouver l’exactitude de ses allégations», conclut le communiqué du Cappo.