Interpellé lundi 3 août et remis en liberté mardi après une brève garde à vue à Nanterre, le directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba est dans le collimateur de la justice française. Celle-ci enquête notamment sur des virements suspects émis par une société française, dont elle suspecte Maixent Accrombessi d’être le destinataire.
La garde à vue a été relativement courte mais elle a fait grand bruit et provoqué l’ire du pouvoir gabonais. Libéré après quelques heures, mardi 4 août, après avoir été interpellé la veille dans la matinée, Maixent Accrombessi est au centre d’une enquête préliminaire, ouverte le 9 juillet 2007 pour « corruption d’agent public étranger » et « blanchiment » par la justice française, comme l’a révélé Jeune Afrique.... suite de l'article sur Jeune Afrique