La présidentielle, c'est dans un an, et d'ici là chacun entend rappeler qu'il a un rôle à jouer, une influence à négocier. Quitte à semer la zizanie au sein du parti au pouvoir.
« Jamais sans mes amis », pourrait clamer Alexandre Barro Chambrier. Avec lui, un rendez-vous fixé à 8 heures dans sa somptueuse villa du front de mer à Libreville se transforme en entretien avec l’ensemble des rédacteurs du brûlot « Héritage et modernité ». Une demi-douzaine de quinquagénaires en costume sombre et rasés de près qui menacent de faire imploser le Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) à un an de l’élection présidentielle.... suite de l'article sur Jeune Afrique