LE Plan de gestion environnementale et sociale (PGES) est devenu un outil incontournable pour la réalisation de tout projet de développement durable. Mais à l’heure actuelle, peu d’opérateurs économiques maîtrisent l’ensemble de ce processus.
Pour les responsables du cabinet d’étude Biotop, Renold Bopulnois, " l’intégration environnementale est un gage de la réussite du projet. Son autorisation et le maintien de celui-ci s’appuient sur la qualité et le respect du Plan de gestion environnementale et sociale (PGES). Les mesures du PGES devront être réalistes. Une implication forte de l’opérateur, quant à leur faisabilité technique et financière, est requise tout au long du processus d’étude d’impact, pour une grande efficacité dans la surveillance et le suivi".
Il faut identifier un responsable opérationnel, par exemple un chef de chantier ou une personne ressource de l’hygiène qualité sécurité et environnement (QHSE), des indicateurs de suivi dont la présence d’une plate-forme de stockage des huiles usagées, l'absence de déchets en dehors des poubelles, les modalités d’enregistrement, d’archivage et de consultation de ces indicateurs tenue par une personne ressource avec un carnet de bord.
Toutefois, comme l’a indiqué l’expert, ce processus se fait en 9 étapes clés.