Au cours de cette réunion, les deux parties ont notamment abordé la question environnementale. « Nous trouvons normal et légitime qu’un code minier réglemente cette dimension. On ne peut pas comprendre qu’une activité puisse se développer au détriment de son environnement», a indiqué Mohamed Gharrabi, directeur exploration de la société Managem (Maroc). Le nouveau code minier fera l'objet d'une loi, laquelle est en attente de publication. Une avancée qui permettra la mise en place des mécanismes de financement de projets à caractère social et à haute portée économique.
Pour le ministre Akagha-Mba, ce code déjà promulgué par le président de la République va aider l’État et les opérateurs pour que chaque partie puisse exercer son rôle. Selon Jean Fabre, directeur général de la Comilog, et président de l’Umiga, « parce que la compétition avec d’autres pays se fait dans ce cadre(...), il correspond à ce que peut attendre un opérateur minier ».