Le but de la rencontre organisée en collaboration avec l’Union pour la Méditerranée (UPM) était d’échanger, d’une part, au sujet de l’élaboration des contributions prévues déterminées au niveau national et, d’autre part, à propos des éléments constitutifs du nouvel accord sur le climat, prévu pour adoption à Paris. Ce fut l’occasion pour la ministre déléguée du Maroc, chargée de l'Environnement, Hakima El Haite, d’annoncer les contributions du royaume chérifien, qui devient ainsi le deuxième pays africain, après le Gabon, à honorer cet engagement, dans la perspective de la COP 21.