Libreville - Christian de Faria est allé s’enquérir lundi à l’Institut Africain d’Informatique (IAI), de l’effectivité de la formation dans les métiers de l’Informatique, organisée par Airtel Gabon en collaboration avec l’Unesco, à l’intention de 5000 jeunes gabonais.
Je suis très satisfait des conditions dans lesquelles cette formation se déroule. Nous venons aussi d’annoncer que les 10 meilleurs de chaque promotion auront un stage de 6 mois rémunérés chez Airtel, pour leur permettre d’avoir un contact avec l’entreprise et voir si on peut, après, les aider à développer leurs propres entreprises et démarrer dans la vie dans des conditions beaucoup satisfaisantes. », A déclaré M. Christian de Faria.
Après s’être imprégné des différents aspects de cette formation gratuite, à travers une brève projection vidéo, le PDG d’Airtel Afrique s’est dit honoré de compter parmi les soutiens au projet l’ONU Sida, dont la représentante au Gabon, Mme Inge Tack a pris part à la visite.
Un appui que Christian de Faria sait essentiel, car plus rentables seront ces formations si les bénéficiaires sont « sains », a-t-il soutenu.
Il a également dit sa fierté quant au soutien d’autres entités telles que le ministère de l’Education nationale, représentée à l’occasion par son SG adjoint 2, M. Jean Claude Kombila, de la représentation locale de l’Unesco, représentée par Mamadou Kanté, ainsi que l’Office nationale de l’emploi, du Centre de Développement des Entreprises (CDE), de la Société d’Energie et d’Eau du Gabon (SEEG) et de l’Institut Africain d’Information (IAI) dont le cadre à servi pour cette première phase de tests.
Ce sont 5000 inscrits, depuis le 4 mai dernier, qui subiront en trois phases les formations aux métiers de l’informatique de base. A l’issue de la phase initiale de tests qui détermine le niveau de chacun à l’entame de la formation, repartie sur trois niveaux notamment, des cours théoriques seront dispensés pendant 4, 6 et 4 semaines. Au terme de ces formations, un certificat sera délivré et constituera un cachet d’aptitudes, d’ailleurs en adéquation avec le marché de l’emploi au Gabon, a précisé M. de Faria.