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Chorégraphie : Le Gabon à l’Afrik Urbanarts
Publié le samedi 23 mai 2015   |  Gabon Review


Gaëlle
© Autre presse par dr
Gaëlle Ikonda, danseuse chorégraphe


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La compagnie de danse Solik et sa danseuse chorégraphe et fondatrice Gaëlle Ikonda sont en spectacle ce 23 mai 2015 dans le cadre de la 4é édition du festival international de danse contemporaine «Afrik Urbanarts».

«Ma ville aime mon art ». C’est le thème de la 4ème édition d’Afrik Urbanarts qui se tient du 21 au 24 mai prochain au centre culturel allemand, Goethe Institut, à Abidjan (Côte-d’Ivoire). Cette thématique est, selon la chorégraphe directrice du festival, Jenny Mezile, «liée à une démarche de rapprochement de la danse du public, en allant à la rencontre du public dans son environnement. C’est une sensibilisation et un pari de mobilisation de futurs «clients» de spectacles».

Pour ce rendez-vous, la programmation a fait la part belle à des chorégraphes féminins. Ainsi, Gwen Rakotovao de Madagascar, Catherine Nakawesa d’Ouganda, Michelle Ndjongui et Annie Tchawack du Cameroun, Gaëlle Ikonda du Gabon, Tina Pfurr et Anna Straube de l’Allemagne et Niaba Bacome de Côte d’Ivoire donneront des représentations dignes de femmes engagées. Dans une chorégraphie intitulée «Résistance», d’une durée de 20 minutes, Gaëlle Ikonda se fera le plaisir d’entraîner le public sur le chemin de la résistance positive, qui consiste à toujours aller de l’avant malgré les péripéties et aléas de la vie. «Restons positifs et avançons. J’ai choisi «Résistance» car elle me donne la force de continuer», a souligné. «L’objectif premier de ce festival est d’en faire un rendez-vous réunissant les chorégraphes de talent, avec une démarche chorégraphique innovante et engagée, capable d’épouser une scène conventionnelle comme l’espace public et qui prend en compte la scénographie au sein des œuvres. Il s’inscrira dans une démarche d’expérimentations nouvelles (nouvelles formes /nouvelles techniques et nouvelles collaborations)», a souligné Jenny Mezile.

Ces quatre jours de festivité donneront lieu à une belle brochette d’expériences et découvertes culturelles à partager. Cette année, il est à noter quelques innovations qui, au-delà des pièces chorégraphiques présentées, permettront au public de danser.

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