Des permis miniers ont été confiés à SRK Exploration Services, qui en assurera l’exploration pour le compte de la compagnie IronRidge Resources Ltd.
Possédant des actifs sur le fer en Afrique et en Australie, la compagnie IronRidge Resources Ltd a engagé SRK Exploration Services Ltd pour les activités d’exploration sur ses actifs au Gabon qui doivent démarrer début juin prochain. Cette compagnie d’exploration cotée à la bourse de Londres détient, dans le nord du Gabon, les permis Belinga Sud et Tchibanga, qui couvrent une superficie totale de 3974 km2. IronRidge Resources a dévoilé, le 14 mai dernier, l’attribution de ce contrat à SRK Exploration, membre du puissant SRK Group qui se prévaut d’un personnel de 1400 professionnels aux expertises variées en matière d’exploration, d’exploitation et d’ingénierie. «SRK Exploration fera une collecte indépendante et objective des données, leur stockage en toute sûreté et sécurité ainsi que leur interprétation objective, dans la perspective de l’estimation prochaine des ressources», a précisé la compagnie minière. Selon Vincent Mascolo, directeur général d’IronRidge, SRK a été choisi au terme d’un processus serré pour s’assurer de «l’application de la meilleure méthodologie» d’exploration dans ce projet.
SRK assure déjà la gestion du programme d’exploration et de revue des ressources du projet Belinga, estimé à plus d’un milliard de tonnes de ressources à 62% de fer, situé à la frontière nord du projet Belinga sud. SRK met à la disposition de l’industrie des matières premières une vaste gamme de services de consultation et offre des services de modélisation géologique, d’estimation des ressources, de conception et d’ordonnancement des mines, de géotechnique, de gestion des eaux, de disposition des rejets, de métallurgie, de gestion environnementale, de géochimie et de modélisation technico-économique. L’annonce du démarrage de l’exploration des actifs au Gabon intervient près de six mois après qu’IronRidge eut ouvert son capital-actions à Assore Ltd, holding minier coté à la bourse de Johannesburg, qui y détient 29,9% d’intérêt, contre 12% pour le conglomérat Sumitomo Corporation.
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