Organisé par la Bibliothèque universitaire centrale (Buc), avec l'appui technique et financier de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco), l'atelier portant sur " les défis du libre accès aux productions scientifiques et leur conservation" a pris fin jeudi dernier. Au terme de trois jours intensifs d'échanges, marqués par un panel de conférenciers aux expériences diverses, aux parcours et réalisations différents, qui ont contribué à la richesse des débats et à la floraison des idées nécessaires à l'épanouissement des dispositifs d'accès aux contenus scientifiques, les travaux ont débouché sur des recommandations. Lesquelles seront remises à l'Unesco.
Occasion pour le directeur de la Buc, Ferdinand Ngoungoulou, de rappeler que promouvoir le libre accès, c'est encourager la mise à disposition gratuite de l'information sur Internet, en permettant à tous de lire, télécharger, copier, transmettre, imprimer, etc., sans barrière financière, légale ou technique autre que celle indissociable de l'accès et de l'utilisation d'Internet.