Libreville (Gabon) - La Commission de l’éducation, de la communication et des affaires culturelles (CECAC) de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF) s’est ouverte, lundi à Libreville, pour adopter notamment les rapports d’activités sur le VIH/SIDA et de la marchandisation de l’éducation dans le système francophone
Les assises de deux jours doivent également permettre aux participants d’examiner les conventions sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, les rapports d’activités de la CECAC, du réseau parlementaire de lutte contre le VIH/sida et du marchandisation de l’éducation, a indiqué une source proche de l’Assemblée nationale gabonaise.
Un certain nombre de dossiers doivent, pour leur part, faire l’objet d’un suivi, notamment le rapport conjoint entre la CECAC et le réseau parlementaire des femmes sur l’éducation des filles, la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, le rapport d’étape sur â l’utilisation des nouvelles technologies du Web 2.0, pour rapprocher les élus des citoyens.
En outre, le nouveau règlement et le coà»t des jeux de la Francophonie doivent faire l’objet d’une proposition, au cours de cette rencontre interparlementaire qui regroupe les treize sections de l’APF et s’inscrit dans le cadre des activités internationales de sa première chambre.
Les conclusions des assises de Libreville seront soumises à la prochaine réunion de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, en juillet prochain, à Berne en Suisse.
Organisation interparlementaire créée en 1967, l’APF, qui regroupe 79 sections issues des parlements et organisations interparlementaires francophones, doit faire la promotion de la démocratie, de l’à‰tat de droit, des droits de l’homme et de la diversité des expressions culturelles dans l’espace francophone, tout en Å“uvrant au rayonnement de la langue franà§aise.