Le livre « L’histoire du Gabon racontée à nos enfants » sur l’histoire du Gabon, des Editions du Jaguar en partenariat avec la Fondation BGFIBank, a été remis officiellement vendredi au secrétaire général du ministère de l’Education nationale, à l’occasion d’une cérémonie à BGFI School of management à Libreville, a constaté un journaliste de l'AGP.
« L’édition de l’ouvrage l’histoire du Gabon raconté à nos enfants en partenariat avec Les Editions du Jaguar est en cela une excellente opportunité d’intéresser nos jeunes lecteurs, à travers une initiative concrète, innovante et profitable, pour la culture et la mémoire des générations futures », a déclaré Henri-Claude Oyima, président de la Fondation BGFIBank, lors de la cérémonie de présentation de l’ouvrage.
Pour Henri Claude Oyima, le renforcement de la connaissance est un axe majeur et un enjeu de grande importance. BGFIBank témoigne, à travers cet ouvrage, a-t-il dit, sa volonté d’aller plus loin dans ses actions de solidarité, après la formation à l’entreprenariat social, dispensé aux associations et ONG ; la formation des éco-guides des parcs nationaux, l’octroi de bourses sociales aux étudiants de BBS issus de familles défavorisées et l’éducation des enfants de la rue au Benin.
2500 exemplaires du nouvel ouvrage « l’histoire du Gabon racontée à nos enfants » ont été remis symboliquement au secrétaire général du ministère de l’Education nationale, Michel Kiki Mbou, pour les élèves des établissements primaires et secondaires du pays.
L’évènement a vu, entre autres, la présence des membres du Corps diplomatique, du maire de la commune de Libreville, des professeurs de lycée et universités, parmi lesquels, les artisans du projet, Nicolas Metegue N’nah, Alain Assoko Ndong et Richard Oslisly.
« De la préhistoire à nos jours, au fil des 88 pages, 26 chapitres et 6 grandes parties, nous avons fait revivre une histoire riche d’évènements. Nous avons voulu la raconter aux enfants car ils ne connaissent pas, ou mal, son long déroulement, à travers les siècles », a affirmé Nicole Houstin, directrice adjoint des Editions du Jaguar.
Les textes sont courts et précis, a-t-elle poursuivi, certains mots difficiles en couleur verte et en gras permettent au lecteur de compléter sa connaissance par la définition ou l’explication du mot à la fin du livre dans le glossaire. « Nous avons privilégié les temps forts et les grandes figures de l’histoire gabonaise au dépend d’analyses trop fouillées et complexes moins compréhensibles pour les enfants. Photos et illustrations renforcent la mémorisation d’événements ou de personnalités citées dans le texte », a-t-elle expliqué.
