Depuis le 29 mars 2015 et ce jusqu’au 4 avril prochain, une délégation gabonaise conduite par la ministre déléguée chargée de la Prévoyance sociale, Marie Françoise Dikoumba est au Maroc dans le cadre d’une visite de travail. Objectif, mettre en œuvre l’accord-cadre signé à Libreville en 2014 entre le Gabon et le Maroc en vue d’échange d’expertise sur le développement humain.
Engagés dans des partenariats socio-économiques, le Gabon et le Maroc semblent cette année, déterminés à faire progresser leur coopération. En effet, après, la signature, le 18 mars 2015 dernier de trois conventions relatives à la formation des cadres gabonais entre les ministres gabonais et marocains de la santé, le tour est revenu à la ministre déléguée chargée de la Prévoyance sociale par ailleurs coordinatrice nationale de la Stratégie d’Investissement Humain (SIHG), Marie Françoise Dikoumba d’aller à la source de l’expérience marocaine.
Il s’agit à cet effet pour la délégation gabonaise de faire progresser les termes de l’accord-cadre signé à Libreville en 2014 pour l’échange d’expertise en matière de développement et d’investissement humain mais également, d’appréhender l’expérience marocaine en ce qui concerne les activités génératrices de revenu, la lutte contre la précarité, les soins de proximité, le suivi-évaluation et l’action associative. Des points que le Gabon souhaite développer.
« Votre présence parmi nous, est un signal fort de l’engagement de votre pays et de votre détermination à renforcer ces liens de partenariats et de coopération qui s’inscrivent dans le prolongement naturel des accords conclus entre nos deux pays en mars 2014 », a déclaré la partie marocaine.
Occasion donc pour Marie Françoise Dikoumba également coordinatrice nationale de la Stratégie d’Investissement Humain (SIHG) de présenter à la partie marocaine ce qu’est ce projet de développement social qui a pour finalité de lutter contre la pauvreté, la précarité et l’exclusion sociale.
« Nous sommes venus au Maroc, pays frère, pour connaître, connaître pour comprendre et comprendre pour agir efficacement en faveur des couches faibles de notre population » a souligné Marie Françoise Dikoumba.
.jpg)
.jpg)
