L'ancien ministre a annoncé sa rupture avec Libreville ce week-end. Devant des militants de l'opposition, il a affirmé « n'avoir plus rien à voir avec les autorité ». Jean Ping avait pourtant eu de nombreuses responsabilités sous Omar Bongo. Il était également devenu président de la Commission de l'Union africaine lorsque celui-ci était décédé. Mais aujourd'hui, il prend ses distances, expliquant que l'actuel pouvoir chercherait à freiner ses activités de consulting dans le pays. Du côté du gouvernement, on affirme ne pas être surpris. Et aux yeux d'Alain Claude Bilié Bi Nzé, le porte-parole de la présidence gabonaise, si Jean Ping agit ainsi, c'est pour servir ses intérêts personnels.... suite de l'article sur RFI