Au Gabon, le bras de fer se poursuit entre les syndicats des fonctionnaires et le gouvernement. La grève déclenchée le 9 février continue à paralyser l’administration publique. Le secteur de l’éducation est le plus touché. Lundi 23 mars, les élèves et étudiants sont descendus dans les rues. Les syndicalistes aussi. Et face à la radicalisation de la situation, le gouvernement a décidé de couper les salaires.
Le calme est revenu à Libreville après les manifestations de lundi. Mais le pouvoir ne décolère pas. La brève apparition des leaders de l’opposition radicale dont Zacharie Myboto et Jean Ping parmi les manifestants n’est pas passée inaperçue.... suite de l'article sur RFI