Les habitants du quartier ‘’Antenne Masuku’’ dans le 1er arrondissement de la commune de Port-Gentil viennent de réceptionner une passerelle métallique, qui remplace celle en matériaux de fortune, rapporte notre correspondant.
Constatant la dangerosité que présentait depuis un certain temps, le pont de fortune construit avec du bois très périssable, le Parti pour le développement et la solidarité sociale dont l’action sociale est le maître mot, a engagé des travaux de construction d’une passerelle en matériaux durables ; un chantier qui a fait 4 jours avant son inauguration ce 24 janvier.
Le pont métallique avec planché en caïbotis qui a été livré au quartier ‘’Antenne Masuku’’ est de 8m de long sur 1,5m de large pour une valeur de 3 150 000 frs CFA, totalement financé par le PDS. « Nous n’attendons pas une période électorale pour poser une telle action » a laissé entendre le coordonnateur du parti au 1er arrondissement de Port-Gentil, Rick Minang. Ce pont vient soulager les riverains qui éprouvaient des difficultés pour atteindre les deux rives du canal du quartier. « Je suis heureux que le pont à risque ait été remplacé » s’est confié Herman, un habitant. C’était relever le défi que de traverser à cet endroit, témoignent des adolescents de la zone.
Outre, cette marque d’assistance à la population, ce sont plus de 200 personnes à faibles revenus, qui ont bénéficié de l’esprit de solidarité du PDS, en recevant des kits alimentaires. Un geste accompli chaque année par la formation politique de Me séraphin Ndaot Rembogo. Les responsables du Parti pour le développement et la solidarité sociale sont revenus sur deux malheureux événements dont le leader du parti proche de l’opposition gabonaise est victime ces derniers jours : d’abord la « tentative d’intoxication par un produit nocif soigneusement répandu dans le climatiseur » du bureau de Me Ndaot (17-18 janvier derniers) dans la capitale économique gabonaise ; ensuite l’incendie de sa résidence de Libreville (Haut-de-Gué gué). Un acharnement qu’a vertement condamné le porte-parole du président du PDS, Joël Pono Opapé. Pour les militants, « ces actes n’affectent en rien le moral de leur champion ».