Dès mercredi, l'onde de choc s'est propagée aussi en Afrique pour dire non au terrorisme. Plusieurs dirigeants africains et organisations ont condamné l’attaque contre le journal satirique Charlie Hebdo qui a tué 12 personnes dont les piliers du journal et deux policiers. Le slogan « Je suis Charlie » a gagné le continent africain et dans les rues, on se sent aussi concernés.
Burkina Faso : « La liberté de presse a été assassinée »
Au Burkina Faso, l’attentat à Charlie Hebdo fait la Une des quotidiens et les Burkinabè se posent toujours des questions sur les motivations des auteurs de l’assassinat des journalistes. Barbare, ignoble, incompréhensible, ou inqualifiable… Dans les rues de Ouagadougou, les Burkinabè n’arrivent pas à expliquer ce qui s’est passé à la rédaction de Charlie Hebdo.... suite de l'article sur RFI