Si elle dit être favorable à la mise en place d’une couverture maladie universelle, la Confédération patronale gabonaise (CPG) estime cependant que pour être efficace, un tel système devrait impliquer différents acteurs.
Réuni en assemblée générale le 19 décembre dernier à Libreville, la Confédération patronale gabonaise (CPG) a examiné le rapport d’activité du secrétariat général, les états financiers pour l’exercice 2013 non sans évoquer le budget et les prévisions de clôture 2014. Soulignant que 2014 a été «une année particulièrement difficile pour nos entreprises avec des tensions sociales et une trésorerie à flux tendu dans plusieurs secteurs», la présidente de la CPG a décliné les chantiers prioritaires sur lesquels s’est penché le bureau exécutif. Madeleine Berre a notamment évoqué le règlement de la dette intérieure, la réforme sociale, les assises fiscales et le dialogue fiscale ainsi que la problématique de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAM-GS). Ce dernier point a justement constitué la pierre d’achoppement des échanges.
Réuni en assemblée générale le 19 décembre dernier à Libreville, la Confédération patronale gabonaise (CPG) a examiné le rapport d’activité du secrétariat général, les états financiers pour l’exercice 2013 non sans évoquer le budget et les prévisions de clôture 2014. Soulignant que 2014 a été «une année particulièrement difficile pour nos entreprises avec des tensions sociales et une trésorerie à flux tendu dans plusieurs secteurs», la présidente de la CPG a décliné les chantiers prioritaires sur lesquels s’est penché le bureau exécutif. Madeleine Berre a notamment évoqué le règlement de la dette intérieure, la réforme sociale, les assises fiscales et le dialogue fiscale ainsi que la problématique de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (CNAM-GS). Ce dernier point a justement constitué la pierre d’achoppement des échanges.