La Tropicale Amissa Bongo de Ceca-Gadis #aLibreville

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La Tropicale Amissa Bongo de Ceca-Gadis

Publié le dimanche 19 janvier 2014 | Gabon Review

© Autre presse par DR
Michel Essonghe, président-directeur général de la Compagnie d’exploitations commerciales africaines-gabonaise de distribution (Ceca-Gadis)

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Michel Essonghe, président-directeur général de la Compagnie d’exploitations commerciales africaines-gabonaise de distribution (Ceca-Gadis), tout nouveau partenaire de la Tropicale Amissa Bongo, s’explique.

C’est la 1ère fois que Ceca-Gadis est présente, en tant que partenaire, sur la Tropicale Amissa Bongo. Pourquoi avoir attendu si longtemps ?

Si longtemps, oui et non. Effectivement, la Ceca-Gadis s’implique présentement au regard de l’évolution de cette course qui s’affirme de plus en plus comme l’un des événements sportifs international de l’année. Au regard de cela, et de l’ambition du chef de l’Etat de faire de notre pays une terre d’accueil des grands événements sportifs, culturels, nous nous sommes dits qu’en tant qu’entreprise citoyenne, il était de notre devoir de participer, d’accompagner cet événement et nous l’avons fait à partir de cette année. Nous allons continuer à le faire.

Pour la première fois également, la Tropicale arrive à Port-Gentil qui est quand même connu comme votre terre natale. Ceca-Gadis a-t-elle influencé cela ?

C’est ma terre natale, c’est bien vrai. Non, nous n’avons pas joué pour cela. La venue de la Tropicale à Port-Gentil est une volonté du président de la République qui a répondu à une attente, une demande des ressortissants de la province qui souhaitaient que la Tropicale vienne chez nous. Nous n’avons pas eu la CAN [Coupe d’Afrique des nations, ndlr], nous sommes dits qu’il était bon que nous ayons une étape de la Tropicale. Donc, c’est une réponse du président aux demandes des populations de la province.

D’une manière générale, est-ce qu’avant cela vous suiviez la Tropicale et qu’est-ce que vous en pensez ?

J’aime tous les sports. J’ai pratiqué la bicyclette ici et j’ai fait un Libreville-Mouila. Donc, je suivais la Tropicale. Ce qui me frappait c’était l’évolution de cette course. D’année en année, elle était mieux structurée, mieux organisée et de ce fait, elle intéressait davantage de Gabonais et elle se positionnait mieux à l’international. Donc, c’est une évolution constante que nous avons retenu, en tant que groupe Ceca-Gadis, d’accompagner désormais.

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