Dans le magazine les Décideurs : Stratégie Finance Droit du mois d’avril 2011, répondant aux questions du magazine
Question1 : sur la qualité essentielle pour être un bon leader
Yves De Chaisemartin (PDG d’Altran) , dit je cite : « L’écoute est selon moi une qualité primordiale. Un bon leader doit savoir rester ouvert aux autres, tous les autres. Il doit être capable de les écouter pour prendre en compte tous les points de vue,…… ». Ali Bongo écoute t-il assez les uns et les autres (Population, Collaborateurs, Société civile, Opposition, majorité) ? D’après ce qui se dit, Ali Bongo n’écoute pas assez et est plutôt ferme sur ses décisions. Robert Bourgi l’a même affirmé sur une chaine publique française (France 24).
Question 1 : Sur les valeurs fondamentale du leader
Yves De Chaisemartin dit je cite : « Pour inspirer la confiance, un leader doit montrer l’exemple : à tout instant et dans tous les domaines. Pour cela, un dirigeant doit faire preuve de rigueur, de simplicité et de respect de l’autre. Ces valeurs sont indispensables à un leader pour utiliser à juste titre les pouvoirs qui peuvent être les siens ».
Ali Bongo inspire t-il aujourd’hui confiance au gabonais ; avec son problème de vrai faux acte de naissance et surtout sur ces origines ? Ali Bongo montre t-il l’exemple à tout instant et dans tous les domaines : bonne gouvernance (détournement massif des deniers publics), démocratie (dissolution des partie politique-UN) et droit de l’homme (interdiction aux leaders de l’opposition de sortir du Gabon il ya une semaine) etc. ? Ali Bongo fait-il preuve de rigueur ?
Non malheureusement car lui et sa légion étrangère pillent les richesses du pays sans rendre compte à qui que se soit ; Ali Bongo est-il simple ? Rien n’est moins sûr, car à regarder la manière dont il met le protocole même pour saluer sa mère, même ses proches (famille) disent qu’il ne les approche que lorsqu’il à besoin d’eux ; Ali Bongo a-t-il du respect pour les autres ? Non malheureusement, Ali ne respecte personne (jeunes, moins jeunes, anciens) ; il envoi ses collaborateur insulter des anciens aussi bien du PDG, Majorité et Opposition à travers le Gabon lors de marche de soutien et autres meetings.
Au regard de ce qui précède, nous voyons qu’Ali Bongo n’a pas les critères d’un leader capable de mener à bon port le bateau Gabon en terme de démocratie, de bonne gouvernance, droit de l’homme. Il a plutôt les critères d’un homme de pouvoir car :
- Le pouvoir est une force qui va du haut (hiérarchie) vers le bas, du fort vers le faible ;
- Le pouvoir tend à « diviser pour mieux régner », en limitant tout contre pouvoir, ce qui ouvre les portes de l’arbitraire, de l’abus de pouvoir, de la violence au visage légitime
- Le pouvoir donne des ordres, des instructions. Il ne prend pas le temps de l’écoute, se prive partiellement de la créativité des autres sauf pour exécuter
