Moins d’un cinquième des Casques bleus parlent le français, alors que plus de la moitié d’entre eux évoluent dans des pays francophones. Pour changer cette situation, l’Organisation internationale de la francophonie a lancé, mardi, son Réseau d’expertise et de formation francophone pour les opérations de paix (Reffop).
Pour qu’une opération de maintien de la paix soit efficace, mieux vaut que les soldats et la population parlent la même langue. Et pourtant, c’est trop rarement le cas dans les pays francophones.... suite de l'article sur Jeune Afrique