Venus du Cameroun, du Tchad, de la Guinée-Equatoriale et du Gabon, les participants à cet atelier sous-régional sont attendus sur le terrain de la pratique judiciaire, afin que les justiciables puissent dorénavant saisir le bien-fondé de l'application de ce traité que 17 pays de notre continent ont déjà intégré dans leur arsenal juridique.
OUVERTE le lundi 3 novembre dernier au stade d'Angondjé par le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Séraphin Moundounga, la formation des jeunes magistrats et auditeurs de justice, couplée à une autre à l'intention des hauts magistrats, s'est achevée vendredi après-midi sur le sentiment général des participants d'avoir éclairé les zones d'ombre qui voilaient encore leur compréhension des Actes uniformes de l'Ohada (Organisation pour l'harmonisation en Afrique du droit des affaires).
Venus du Cameroun, du Tchad, de la Guinée-Equatoriale et du Gabon, les personnels judiciaires à cet atelier sous-régional sont attendus sur le terrain de la pratique judiciaire, afin que les justiciables puissent dorénavant saisir le bien-fondé de l'application de ce traité que 17 pays de notre continent ont déjà intégré dans leur arsenal juridique.