Le directeur par intérim du Bureau régional de l'OIF pour l'Afrique et l'océan Indien (Brac), Kanel Engandja-Ngoulou, l'a déclaré au cours de la présentation du rapport de l'Observatoire de cette langue chère aux auteurs du manifeste de l'Ecole de Ronsard.
La question qui se pose alors aux francophones et à leurs dirigeants, aux responsables de la Francophonie institutionnelle et aux acteurs de la promotion de la langue française est de savoir si le français est et sera un moteur permettant de faire face aux défis de la mondialisation.
Pour répondre à cette question, le Bureau régional de l’OIF pour l’Afrique centrale et l’océan Indien (Brac), à travers Kanel Engandja-Ngoulou, son directeur par intérim, a, de façon synthétique, présenté, hier, à son siège des Hauts-de-Gué-Gué, le rapport de l’Observatoire de la langue française dans le monde en 2014.
Ce rapport, important pour l'OIF, pour les pays francophones et pour ceux qui se lancent dans la recherche, en ce qu'il fournit des données pouvant être exploitées, est constitué de trois parties. Primo, qui parle français ? Secundo, qui apprend le français dans le monde ? Tertio, le français comme langue de communication internationale.