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PDG: « Stop à la confusion des rôles », dixit Faustin Boukoubi
Publié le samedi 18 octobre 2014   |  Gaboneco


Faustin
© Autre presse par DR
Faustin Boukoubi, secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG au pouvoir).


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La célébration des 5 ans au pouvoir du chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba a été l'occasion pour ses camarades du Parti Démocratique Gabonais (PDG) de faire le point sur la vie de leur formation politique et les actions menées pour faciliter le travail du président de la République. Respecter le rôle de chacun au sein du Parti Démocratique Gabonais (PDG), tel est le mot d'ordre lancé par le secrétaire général dudit parti, Faustin Boukoubi, lors de la célébration des 5 années du chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba au pouvoir.

Selon le secrétaire général, il est temps que chaque maillon de la chaine PDG fasse correctement son travail afin de rendre meilleurs les résultats des projets du chef de l'Etat, car une sorte de confusion des rôles se serait trop longtemps établie au sein de ce parti, faisant place à l’expression de quelques frustrations.

A cet effet, la recommandation de Faustin Boukoubi est un rappel à l'ordre.

« La majorité appelle chacun à prendre à bras-le-corps sa tâche. Cela irait mieux si chacun prenait la pleine mesure de la mission qui lui est confiée car le président de la République donne le cap, supervise, mais il n'est pas le seul à réaliser le développement du pays. Chacun doit prendre la pleine mesure de la mission que vous lui avez confiée. J'insiste sur la priorisation de la promotion de la vision du chef de l'Etat, chef de la majorité républicaine et sociale pour l'émergence, car l'imbroglio qui s'est établi est une source de frustrations inutiles, voire plus grave, d'inertie et d'inefficacité », a-t-il déclaré.

Selon Faustin Boukoubi, le relâchement observé en terme d’action politique au sein du PDG, certainement dû aux tensions internes, ne profitera pas à l'action du chef de l'Etat, sans pour autant être une source de faiblesse face aux différents mouvements de l'opposition actuelle.

« L'opposition ne dispose pas d'un projet fédérateur capable d'ébranler le parti, mais cela ne nous donne pas le droit de dormir sur nos lauriers », a-t-il conclu.

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