Le cap Santa Clara a servi de cadre à la journée d’intégration de BGFI business school (BBS), initiée en vue de faciliter la cohésion de groupe entres les étudiants de différentes promotions.
Comme chaque année depuis 2012, BGFI business school (BBS) a organisé sa journée d’intégration le 4 octobre dernier à Akouanga village, au cap Santa Clara. Membres de l’administration et près de 300 étudiants de l’école de management ont pris part à cet évènement, qui a été l’occasion de se retrouver dans un cadre privilégié, en vue de faciliter la cohésion de groupe au sein des différentes promotions.
Après la rentrée des classes le 29 septembre dernier, cette journée a donc permis aux étudiants de se familiariser les uns aux autres à travers des activités sportives et ludiques comme le football, le volleyball, les cartes, le karaoké, etc.
«L’intérêt d’avoir ce genre de manifestations c’est d’instaurer un esprit d’école, un esprit de famille, un esprit d’équipe. C’est de savoir qu’on appartient à la même école et qu’on va être amené à travailler ensemble. On ne se connait pas tous mais comme il y aura au niveau de l’école des cours et des travaux qui se feront en groupes, nous devons apprendre à coopérer et à se supporter ; vu qu’une année durant, nous serons appelés à cohabiter dans le même bâtiment. Tout ceci vise donc à mieux se connaître et partager un certain nombre de choses. Vous avez pu constater sur l’activité du rallye, les groupes ont été constitués au hasard avec des étudiants de 1re année, de licence ou de master ; qui discutaient, réfléchissaient et couraient, comme s’ils avaient toujours vécu ensemble», a expliqué le directeur général de BBS, Octave Jokung.
Ainsi, cette journée d’intégration symbolise la volonté de BBS tout mettre en œuvre pour que les étudiants puissent évoluer dans des conditions favorables dès le début de l’année scolaire. Ainsi, dans sa quête de l’excellence, BBS adopte ainsi un modèle de fonctionnement digne des meilleures écoles de management. «Dès le moment où nous avons décidé que BBS allait devenir la première en management au niveau de sous-région, mais aussi d’intégrer le top 10 des écoles africaines, nous avons pensé qu’il nous fallait fonctionner comme cela se fait au niveau des grandes écoles internationales. Et en tant que tel, avant chaque rentrée académique, il y a une journée d’intégration. Nous n’inventons rien, c’est juste que ce genre de rencontres n’est pas habituel au niveau local, contrairement à Paris ou encore à Boston, par exemple. On doit et on peut faire en Afrique, ce qui se fait ailleurs», a souligné Octave Jokung.
Par ailleurs, après la détente place au travail. Comme l’a souligné le directeur général de BBS : «cette rentrée académique se fait sous le signe de l’entreprenariat, le vrai. Nous avons décidé à BBS d’installer un incubateur qui va permettre de porter des projets. Nous vous donnons donc rendez-vous en juin 2015, pour voir les projets de nos étudiants. Nous allons les pousser à créer car nous avons la possibilité de financer ces projets. Car dans l’Afrique de demain ce ne sera pas le salarié qui comptera mais l’entrepreneur».