Malgré le ralentissement économique mondial actuel, DHL Express Afrique Subsaharienne maintient ses volumes d’importations et d’exportations à un niveau élevé, et devrait encore les faire progresser.
elle est la teneur des déclarations de Charles Brewer, directeur général de DHL Express Afrique Subsaharienne, qui précise : « Au premier semestre 2014, DHL Express Afrique Subsaharienne a connu une progression forte et soutenue de trois grandes voies d’importation, à savoir celles en provenance des États-Unis, de France et de Chine, ainsi que de trois grands axes d’exportation vers le Royaume-Uni, les États-Unis et la France. »
Les résultats du deuxième trimestre récemment publiés par le groupe Deutsche Post DHL font état d’une augmentation du bénéfice d’exploitation global de près de 11 %, due notamment à une meilleure rentabilité au sein de son unité commerciale DHL Express.
« Les échanges commerciaux en Afrique continuent d’offrir d’immenses possibilités tant pour les marchés développés que pour les marchés émergents. De plus, le renforcement des contacts et des relations commerciales entre l’Afrique subsaharienne et le reste du monde, soutenu par des chaînes logistiques d’approvisionnement innovantes, aura pour effet d’accélérer le développement économique de l’Afrique. »
Malgré la période de croissance accélérée qu’elle connaît, l’Afrique est le continent le moins connecté du monde en termes de facilité des déplacements, d’échanges commerciaux, d’information et de finance. Tel est le constat de l’indice de connectivité mondiale de DHL.
« L’intégration régionale continuera de jouer un rôle essentiel pour libérer le potentiel de croissance du continent. Parmi les questions à l’ordre du jour figure notamment la création d’une zone de libre-échange, d’une union douanière et d’une monnaie unique sur le continent, autant de mesures qui auraient pour effet d’améliorer sensiblement les échanges commerciaux intra-régionaux qui totalisent actuellement moins de 20 %. Les progrès récents et rapides enregistrés par la Communauté de l’Afrique de l’Est (Kenya, Ouganda, Tanzanie, Rwanda et Burundi) illustrent bien cette évolution. Les États-membres de la CAE travaillent d’arrache-pied pour définir des mesures efficaces destinées à stimuler les échanges, dans le cadre, par exemple, de projets visant à améliorer les infrastructures routières, portuaires et ferroviaires, ainsi que les services frontaliers des douanes. Ces États viennent en outre d’instaurer un visa commun pour leur région. »
« Pour DHL Express Afrique Subsaharienne, le premier semestre 2014 s’est caractérisé par une forte croissance dans le secteur énergétique, due notamment au lancement de nouvelles campagnes des sociétés d’exploration dans des pays comme le Cameroun, le Congo et le Gabon. Le secteur technologique continue de fournir à DHL un fort potentiel pour la fourniture de solutions innovantes, en particulier par une collaboration intersectorielle qui répond au souhait des clients d’harmoniser leurs exigences internes pour une plus grande efficacité et une réduction des coûts. Malgré les pressions concurrentielles et réglementaires auxquelles il est soumis, le secteur des services financiers poursuit sa croissance, laquelle est portée essentiellement par la nécessité de fournir rapidement et efficacement des instruments financiers aux clients. »
« Nous jouissons d’une position exceptionnelle sur le marché africain, un des plus grands marchés émergents du monde. Tirant profit de notre implantation inégalée, nous continuons d’investir dans des infrastructures de pointe sur le marché, d’un bout à l’autre du continent, avec un programme d’expansion en 2014 et au-delà. »
« Tandis que les petites et moyennes entreprises continuent d’être un des vecteurs de notre croissance, un de nos principaux objectifs vise à faciliter encore l’accès à la logistique. À l’heure actuelle, DHL Express dispose de plus de 3 500 points de vente dans toute l’Afrique et prévoit l’ouverture de plusieurs centaines d’autres d’ici la fin de l’année. »
« Comme nous le répétons souvent chez DHL, nous sommes présents en Afrique depuis 36 ans et cela a été une aventure formidable que de voir le « continent oublié » connaître une renaissance si spectaculaire. L’avenir semble extrêmement prometteur. Il est temps que l’Afrique se concentre sur ses objectifs, qu’elle se connecte et poursuive sa croissance », conclut Monsieur Brewer.