Le CES favorable à l’institution- nalisation de certains secteurs d’activité, et au respect des lois en vigueur pour le développement durable du Gabon #aLibreville

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Le CES favorable à l’institution- nalisation de certains secteurs d’activité, et au respect des lois en vigueur pour le développement durable du Gabon

Publié le vendredi 19 septembre 2014 | Gabon News

© Autre presse par DR
Paul Biyoghé Mba, président du Conseil Economique et Social (CES)

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La cérémonie de clôture des travaux de la deuxième session ordinaire du Conseil économique et social (CES) du Gabon pour l’exercice 2014 s’est déroulée ce matin dans ses locaux à Libreville. Plusieurs membres du Gouvernement, les membres du Corps diplomatiques et les Représentants d’Organismes internationaux ont pris part à cette cérémonie. Le président du Conseil, Paul Biyoghe Mba a axé ses propos sous le signe du respect des lois et de la normalisation de certains domaines d’activité économique.
Débutée le 2 septembre derniers, la deuxième session ordinaire s’est tenue dans un climat économique et social qui interpelle. Composés des Patronats, Syndicats de salariés, Société civile, Hauts cadres de la nation et les Elus locaux, les différents groupes de l’institution ont eu deux semaines pour plancher sur trois thèmes. A savoir, la protection sociale, l’Afrique Atlantique, et la promotion et la mise en œuvre d’une Gouvernance participative au Gabon. Sur ce dernier thème, le Conseil préconise « d’institutionnaliser la Gouvernance participative en donnant aux structures déjà prévues par les lois de la République en vigueur les moyens d’exercer leurs prérogatives, notamment les conseils locaux, conseils consultatifs provinciaux et départementaux, Conseil économique et social ».

Paul Biyoghe Mba lors de son allocution n’a pas manqué d’interpeller les Gabonais sur le sens de la responsabilité citoyenne. Il a indiqué que dans cet environnement quelque peu préoccupant, le citoyen gabonais ne doit s’en tenir qu’à la loi. « Si une loi n’est plus bonne, on la change. Mais tant qu’elle est en vigueur, on l’applique ». Il a toutefois fait remarquer qu’ « une loi doit d’abord être bien comprise pour qu’elle soit bien appliquée ». Au sortir de ces travaux, les différents participants se sont dit satisfaits du travail accompli.

Dorian Ondo

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